Depuis que Walter Benjamin a publié son essai « Le œuvre d'Art dans l'âge de Reproduction mécanique », universitaires ont débattu si art reproduite mécaniquement peut avoir « aura » comme nous l'avons Benjamin ce concept. Le débat a maintenant inclus l'art numérique et les systèmes cybernétiques, mais la question reste la même. Une œuvre d'art ne produit par des mains humaines, mais par une machine peut avoir la même qualité ou l'atmosphère comme des œuvres classiques ?
Se référant aux définitions de Benjamin concernant « aura », on peut prétendre qu'il est possible de « aura » d'être présent même dans l'art numérique produit, si l'artiste est conscient des préoccupations spatiales nécessaires pour répondre aux attentes de Benjamin. En prenant comme exemple les artefacts de Mariko Mori, un artiste multimédia de nippo-américains, la présence de contemporain « aura » est examinée en termes de technique, d'installation et les qualités métaphoriques de l'art créés numériquement, comme l'artiste semble sensible et conscient de l'importance de l'espace et les perceptions des spectateurs et expérience.
Mariko Mori est une ancienne styliste et mannequin qui a décidé de se tourner vers la photographie artistique, vidéo et performance arts. Comme un artiste multimédia, expositions solo de Mori dans États-Unis, Italie et le Japon ont acquis une reconnaissance mondiale, qu'elle gère de prendre son image ludique à un nouveau niveau de littéralité, tandis que sa dextérité et créativité avec des technologies novatrices ont conduit à des formes spectaculaires de l'art. Son appel est principalement dû au fait que Mariko Mori a réussi à combiner les idéaux occidentaux du féminisme et de la culture pop japonaise et de pensées exprimer surréalistes sur le sujet. En créant ses artefacts complexes, les installations de vidéo, photographie, sculpture et les combinaisons de parfums même parfois presque grandeur nature, elle relie spiritualité orientale avec la technologie moderne, reliant le passé antique de l'Asie avec le monde globalisé d'aujourd'hui.
Photographies grandes de Mariko Mori et installations vidéo présentent des scènes futuristes que méditent sur la profusion d'artifice dans la culture contemporaine et extraire des éléments de l'art, optimisme exprès pour la vie dans le prochain millénaire et orientale spirituelle pensée. Mori toujours stars dans ses propres créations et présente généralement comme une star pop fabriqués par l'ordinateur qui explore la nature hybride de l'identité individuelle et sa relation avec fantaisies privées et de la culture mondiale. Cyborgs et avatars sont le plus souvent dans les œuvres de Mori, couplés avec un portrait de santé de l'incorporation de la technologie moderne dans la vie quotidienne.
Inspiré par le concept bouddhiste que toutes choses dans l'univers sont interconnectées, Mariko Mori croit qu'art partage avec la technologie électronique, la religion et même la photographie de mode, la capacité de donner forme à nos rêves, fantasmes et désirs. Afin de démontrer mieux ses croyances, elle utilise l'espace comme si c'était une matière tangible. Si maintenant on se concentre sur les les propriétés spatiales de l'aura, qu'elle a une présence unique dans l'espace à travers le temps, les médias électroniques et artistes numériques à travers différentes approches peuvent satisfaire à cette exigence. Artistes, Mariko Mori, qui peuvent créer un environnement spatial unique pour un travail qui est reproduite mécaniquement ou produites numériquement est réellement capable de « transmettre » aura grâce à leur travail. En d'autres termes, un artiste peut créer aura par le biais des médias numériques à l'aide de l'espace. Ainsi, un artiste peut contredire la théorie de Benjamin sur l'art reproduite mécaniquement, en suivant simplement sa propre définition.
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