L'évocateur de marque d'une industrie souterraine - souterraine dans les deux le moyen que les diamants sont extraits physiquement et dans les organisations criminelles que le commerce eux - est la romançant d'une entreprise qui est tout sauf romantique, celui qui creuse franchement mort. Autrement nommé « Diamants de la guerre », diamants du sang sont des roches qui sont recueillis, coupés et polis par des organisations indépendantes de la volonté d'un gouvernement. Hommes, femmes et enfants sont contraints de travailler comme esclaves pour ces organisations illégales, qui partent de vendre les diamants pour financer, entre autres, le trafic de drogue, terrorisme, armes et la prostitution. Il arrive souvent que des raids organisés professionnellement sont faites sur les chargements de diamants qui sont transportés légalement, avant que les diamants sont directement victimes de la traite dans juridique diamond trading sans que personne le questionnement de leur légalité.
La racine de ce problème réside certainement dans les organisations criminelles qui produisent ou volent ces diamants, mais les autres facultés pénales jouent leur rôle en facilitant leur. En ayant des rapports avec ces gens, commerçants corrompus, trafiquants de diamants et marchands d'armes permettent le commerce des diamants souterraine de continuer. L'expression « diamants du sang » a été inventé comme une indication de l'assassinat, torture et ces autres moyens, que l'on trouve dans ce secteur en raison des énormes sommes d'argent qui sont impliqués.
En réaction à l'illicite de diamants commerce l'ONU a sanctionné le processus Kimberly. Le processus Kimberly vise à réduire et finalement arrêter le trafic de diamants du sang dans le commerce légitime du diamant. Pour le processus Kimberly fonctionne efficacement, chaque nation que les exportations de diamants bruts doit attester de leur légalité ; qu'elles étaient produites par des autorités reconnues. Les principaux domaines de préoccupation sont les pays africains de l'Angola, République démocratique du Congo, Libéria, Côte d'Ivoire et Sierra Leone. Un système de certification est employé pour essayer de distinguer les diamants de la guerre et légaux. Les certificats indiquent où chaque diamant a été produit et vendu ; alors qu'en théorie aucun diamants ne devrait pouvoir être exploités ou victimes de la traite illégale. Les personnes qui ont l'intention d'acheter un diamant devraient s'assurer qu'un document d'origine est fourni avec lui.
Une autre nécessité pour s'assurer que les diamants de la guerre ne mélangent pas avec diamants juridique est que chaque nation unique qui est impliquée dans le processus Kimberly ne doit pas interagir avec les nations qui ne participent pas avec elle. Le processus Kimberly est vu de travailler, et diminue le nombre de diamants du sang qui sont victimes de la traite dans le commerce légitime du diamant. Plus de 70 pays et organisations ont engagé dans le processus de Kimberly, laissant plus qu'un couple des non-participants. On estime que 99 % des diamants du monde sont maintenant légitimement fabriqués et vendus. Il s'agit d'une réalisation remarquable compte tenu de la volonté des organisations criminelles qui s'ingénier contre le processus Kimberly.
Toutefois, il devrait sensibiliser tous les consommateurs lorsqu'ils décident de passer leurs gains précieuses sur une pierre utile pour leurs proches. Essayez d'acheter des bijoux certifiés si vous le pouvez, surtout si le diamant provient d'une région connue pour avoir des opérations illégales. Vous pouvez faire votre part pour aider l'industrie du diamant à être juste et honnête !
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